2 octobre dans la soirée

Nyma étais dans l'auberge assie sur un des grands sièges. Elle semblais penssive, un peu comme à l'habitude. Elle étais entourer d'une grande couverture de laine. Elle semblais avoir froid.

Elle se mit à tousser de plus en plus fort. Elle semblais plus ou moins aller. Elle tourna la tête du côter gauche puis resta sur cett e pausision la un moment et puis tourna la tête sur le côté droit et resta un moment dans cette position. Elle fit cela pendant un long moment.

*Célestianne, la couturière, jusque là concentrée à piquer dans le tissu d'une nouvelle oeuvre, releva la tête vers Nyma.*

Dites donc, mam'zelle Nyma! Si vous êtes malade, y faut le dire! On a déjà assez de problèmes avec ces hommes-champignons et l'armée! S'il faut qu'on se contamine les uns les autres, en plus...

*regarde Nyma l'air inquiet*

Voulez-vous que j'aille vous chercher le médecin?

*Elle dépose son fil et son aiguille*

Nyma se leva la tête et regarda en direction de la couturière.

-Non non je crois que j'ai attraper une villain rume. Ce n'ais rien de grave. dit-elle
Mais son mal ne semblais pas être très physique. Elel souffrit d'un autre mal. Juste son comportement , qui avait changer légèrement laissais devnie très long sur sa personnes.

*Célestianne penche légèrement la tête de côté et fixe Nyma d'un air sceptique*

Je ne sais pas ce qui vous fait souffrir, mais je sens bien que vous souffrez... et faudrait pas que ça se propage... Que ce soit corporel ou non...

Et si vous ne voulez pas voir le médecin, on a deux érudits qui peuvent sans doute vous donner conseil
*léger silence*

Sinon, confiez-vous à moi... Nous n'avons pas beaucoup eu le temps de jaser jusqu'à présent...
...
Et il semblerait que je doive demeurer ici pour une durée indéterminée....
*le visage de la couturière s'assombrit et pendant un court instant, Nyma peut discerner qu'elle serre les dents.
L'instant d'après, elle retrouve un sourire qui se veut empathique et attend la réponse de sa vis-à-vis.*

Nyma regarda la couturière en penssa la tête vers la droite.

-Je crois que j'ai attraper un ruhme, peut être que je devrai voir le médecin, mais je n'aime pas vraiment les medecin.

Son visage changea poue une exprésions de dégoût.

-Je suis contente que vous voulez bien m'écouter. Vous e sembler une personnes si aimable et attachante. Justement je m'inquiète un peu. Je ne voie pas Thori souvent. IL vien me saluer mais il dit qu'il à des choses très importante à faire et qu'il ne peut pas rester plus longtemps. J,avoue que sa me rend triste un peu, c'est la seul famille qui me reste.

Elle baissa la tête avec une petite mine de désolation. Puis elle se remie à tousser.

La seule famille qui vous reste...
*un air intrigué traverse le faciès de Célestianne; elle répète ce bout de phrase comme si elle voulait le mémoriser.*

Eh... bien... j'imagine que ce Thori compte beaucoup pour vous, mais...
*Célestianne s'approche lentement de Nyma, une partie de son ouvrage à la main*

...comme n'importe quelle famille... il faut apprendre un jour ou l'autre à s'en affranchir, à devenir plus indépendant. Parfois même, les familles sont si attachantes, si attachées, qu'elles vous empêchent de cheminer sans que vous vous en rendiez compte...

Vous-mêmes, Nyma, qu'est-ce qui vous a amené dans ce village étrange? Et qu'est-ce qui vous y retient?
*Les yeux de la coutière se teintent d'une lueur d'intérêt*

Nyma panssa la tête sur le côter.

-Pourquoi je suis venue ici?

Nyma semblais réfléchir un moment.

-C'est Thori qui ma guider jusqu'ici, J'ai déssider par moi même de rester ici parce que je me suis fait des amis pour la première fois. Ce la mes égale si ce village lui arrive bien des choses étrange. Je suis enfin à un endroit que j'aime bien.

Nyma regarda la couturière d,un regard absent.

-Vous avez raison certain person devien autonome et s'acombrer de la famille n,est pas toujours une bonne choses.

Elle fit un petit sourire triste. Elle se mit à toucher.

-Je crois que je vais m'allonger un moment je me sens pas très bien.